Aucune chance de choper sans ladite confiance en soi … ou alors tu rencontreras des losers désespérés à ton image. Aucun intérêt !

Mais commençons par le commencement. Ami lecteur, si tu t’es déjà pris un râteau ou fait plaquer comme la plus insignifiante déjection d’un des plus insignifiants animaux, produit de la plus insignifiante sous-branche de l’évolution darwinienne (un cas de figure assez commun en somme), tu es certainement passé par le sentiment d’être réellement la susdite déjection.

Tu pars perdant. Tu manques de confiance en toi.

Donc, bien entendu, il faut déjà avoir fait un minimum de chemin en son for intérieur pour que ça marche. C’est-à-dire penser que tu n’es probablement pas cette déjection insignifiante (sauf pour certaines personnes qui le seront toute leur vie minable, courage, vous mourrez seul). Bref, il faut y aller avec la hargne du guerrier, la force du tigre, le courage du yack à poils longs … et d’autres paraboles insensées mais probablement valorisantes. Mais revenons à nos étalons/biches. Pars la tête haute, empli de courage et d’espoir. Y’a des gens plus bêtes et plus moches que toi qui y arrivent pardi ! Tu n’es tout de même pas si demeuré ! Tu es génial !

Aussi fais-moi ton plus beau sourire, tiens-toi droit, rends-toi abordable et part à la conquête de ce vaste monde qui t’est certainement encore inconnu : le monde des humains sociables.

Bien entendu, nous limiterons le monde à explorer aux réseaux de tes amis plus ou moins proches pour l’instant.

Cet espèce de réseau vague aux limites floues que l’on peut voir comme une immense tambouille. Cette marmite sociale où s’ajoutent des ingrédients qui peuvent la rendre meilleure, ou au contraire faire d’elle un cloaque infâme. Ha il faut pourtant y tremper le gros orteil de temps en temps pour conserver une vie sociale digne de ce nom. Donc ami lecteur, fais bien attention à ce que tu y mets, prends-en grand soin, et n’hésite pas à y plonger la tête la première pour aller à la pêche.